samedi 26 avril 2008

Je couche avec des filles, enfin une par une

Alors oui j'ai repris cette primesautière habitude de ne rien branler ici, et je ne m'en justifie évidemment pas mais quoi de mieux qu'imposer d'entrée ce faux rapport de complicité établi entre toi et ci-devant moi ? Rien.
Nonobstant la vigueur chimio-like qui me tient lieu de comportement, j'ai eu des problèmes. Enfin pas moi, évidemment, car tu connais de loin en loin ce que sont mes problèmes (la vaisselle et le dégraissage de la cuvette des chiottes), mais de réelles turpitudes qui font comme de petits tsunamis sur les plages de mes proches et viennent jusqu'à éclabousser mes facétieux edens intimes de cadavres indonésiens, ces enculés (les tsunamis hein). J'en ai perdu le goût de la clope au réveil, c'est dire comme j'en fus dévasté, c'est dire comme toute merveille auréale (j'ai cherché l'adjectif d'aurore, puis ça m'a cassé les couilles, pour finir je me suis dit que tu ne manquerais pas de t'esbaudir devant ce néologisme certes un peu freestyle mais délicieusement ghetto) se refuse peu à peu à moi. Le pire dans cette navrante péripétie fut l'insidieuse nécessité qu'on me signifia, d'effectuer un choix. Celui d'agir ou de ne pas agir. Je ne suis heureusement pas un mitterrandolâtre pour rien, aussi sus-je tirer partie de mon infinie confiance en la bêtise de l'autre pour décider céans de ne strictement rien foutre. Je suis retors hein putain. JE SUIS SACRÉMENT RETORS.
@+

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